Le vice-Premier ministre a noté que la condition la plus importante exigée de la France, en tant que l'un des États assumant le rôle de médiateur dans le règlement du conflit azerbaïdjano-arménien conformément au mandat donné par le Conseil de sécurité de l'ONU, était l'objectivité et l'impartialité.
«Malgré toutes les nuances politiques, la sympathie et l'antipathie, le médiateur doit être impartial envers chaque côté du conflit. Les promesses de l'Etat français de faire preuve d'impartialité en tant que coprésident du Groupe de Minsk dans la résolution du conflit face au président François Mitterrand n'ont pas été oubliées. L'impartialité d'un État qui accepte d'être médiateur est une question de respect envers la moralité politique et le droit international. »
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