C'est ce qu'a déclaré le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev lors d'une réunion avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, à Bakou le 21 novembre.
Le chef de l'Etat a déclaré que l'Azerbaïdjan attendait à juste titre une réponse plus rapide de leur part: «Cependant, il semble que certains facteurs ne leur aient pas permis de préparer leurs positions. Mais comme on dit, il vaut mieux tard que jamais. Je sais qu'une réunion de représentants du Groupe de Minsk de l'OSCE s'est tenue à Moscou. Je pense que leur approche positive concernant cette déclaration jouera également un rôle important dans le renforcement des mesures de sécurité et l’établissement d’une paix durable.
Je voudrais également noter que je partage pleinement la position du Président de la Fédération de Russie. Il a déclaré qu'il espérait ne plus entendre l'expression «conflit du Haut-Karabagh». J'espère que je ne l'entendrai plus. J'espère que lorsque nous parlerons du Haut-Karabagh, nous n'entendrons parler que du développement, de l'élimination des conséquences de la guerre et de la réconciliation de pays qui étaient en guerre.»
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